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Affichage des articles du décembre, 2016
Lettre à mon Maître. J'ai expérimenté ce soir-là ce que Vous m'avez demandé, Maître. J'ai cherché la jouissance dans la douleur, J'ai cherché à y aller sans esprit de compétition, J'ai cherché à y être juste Liberty. J'ai cherché à être fière d'être votre soumise. J'ai demandé du repos quand j'ai senti mon corps fatigué. Je m'interroge sur l'engagement que j'ai toujours pu avoir en même temps que cet "esprit de compétition " et qui a pu Vous sembler faire défaut ce soir-là. Car engagement pour moi signifie être totale, "jusque boutiste" et est pour moi intimement lié à une idée de dépassement. Si je Vous ai demandé du repos c'était pour ne pas basculer dans l'esprit de compétition. Et pourtant, lorsque Vous êtes parti, j'ai eu comme un regret de ne pas avoir poussé plus loin notre expérience. J'ai aimé ressentir vos coups. J'ai aimé m'immerger dans cette expérience
Plaisir intense. À l'issue de la soirée que j’ai décrite dans mon billet précédent, mon Maître m'a demandé une dernière chose : m'allonger et de prendre du plaisir, seule, en pensant à tout ce qui venait de se dérouler. Puis il est parti. Je me suis allongée sur le dos, sur la couverture douce qui était au sol. J’ai fermé les yeux. J’ai repensé intensément à l'ensemble de la soirée, j'ai repensé à la douleur, j'ai repensé au plaisir, j'ai repensé à nos dialogues et puis je suis revenue à la douleur et au plaisir. J’ai joué avec mon bijou anal, j’ai joué avec les boules de geisha. Très vite l’excitation est montée, j'ai écarté plus largement les cuisses, excitée par ma posture plus obscène, je me suis agrippée aux poils de la couverture et je me suis mise à gémir, à gémir de plus en plus. C’était la voix rauque. Celle qui vient de l'intérieur. Très vite, un orgasme est venu, très intense. Je me suis relâchée, fièr
Mon Maître est venu. J'avais l'impression d'avoir préparé les choses le plus sereinement possible avec beaucoup de soin et de détails, et pourtant, une heure avant sa venue, j’étais très fébrile, angoissée à l'idée d'avoir manqué à l’un de mes devoirs. Une nervosité identique aux précédentes était revenue. J’avais peur que quelque chose ne manque. J’avais tellement eu de manquements qui avaient courroucé mon Maître. J’avais aussi exprimé dans un message à mon Maître durant la journée un autre sentiment, toujours latent à cet instant, celui de la peur liée au fait de ne savoir arrêter, de ne pas être capable de prononcer le "terme de sécurité", même si la douleur devenait insupportable. Toute la journée en revanche j'avais été plutôt sereine, profitant pleinement de la jouissance de savoir que mon Maître allait venir, de la fierté de savoir que cette soirée était mienne, qu'Il me faisait l'honneur de me la donner, savourant intérieu
Demain, mon Maître viendra. Je l'attends, Soumise, Fébrile à l'idée...