Soumise Liberty

Mercredi nous avons rendez-vous chez Jean-Paul Four pour une séance de photos. Mon Maître m'offre cette séance pour me récompenser des progrès que j'ai réalisés tout au long de l'année 2017. J'ai publié un billet en novembre où je parlais de ma fébrilité par rapport à cette séance. Depuis, nous en avons reparlé avec mon Maître et Il m'a rassurée au sujet de la confiance et du fait que je puisse être libre face aux propositions de Mr Four. Aussi, je suis depuis plus sereine mais je garde une tension diffuse, quelque chose d'entremêlé qui oscille entre inquiétude, excitation, nervosité et enthousiasme dès que je me projette à mercredi. C'est un état que je connais bien pour l'avoir ressenti quasiment systématiquement - quoique sur des durées variables - à l'approche des entrevues avec mon Maître. J'ai appris à le canaliser en prenant soin de prendre beaucoup d'avance pour être prête et détendue plusieurs minutes avant l'arrivée de

...la contrainte n'est pas toujours évident. Parfois celle-ci permet de se retrouver dans son espace intérieur et embarque dans un voyage étonnant, étourdissant... Parfois l'inconfort l'emporte et la contrainte peut rapidement devenir intolérable. Mais le Maître choisit la posture et la soumise l'accepte. Celle-ci fut particulièrement dure à tenir pour deux raisons. Douloureuse pour les articulations dès le départ, elle a été rendue quasi insupportable en raison de ce que mon Maître a expérimenté sur moi à l'aide d'un vibromasseur puissant duquel je n'avais pas les moyens de me soustraire. Je vous laisse imaginer...

Durant cette journée de cadeau mon Maître m’a demandé de me laisser aller en jouant avec un godemichet mais en n’utilisant que lui, et avec interdiction d’atteindre l’orgasme. Cet exercice, à réaliser devant lui, faisait suite à un premier exercice qu’Il m’avait demandé de réaliser seule dans mon lit la veille. Il m’avait demandé de travailler sur les sensations procurées, sur mon ressenti, sur la contraction, et surtout sur mon imagination, avec l’ordre de laisser durer l’exercice le plus longtemps possible mais tout cela avec interdiction de me masturber ou de faire bouger l’objet. Seule, l’exercice avait déjà été très intense, et je n’avais pas résisté à la fin - car j’y étais autorisée - à manipuler l’objet pour que de mon excitation jaillisse un orgasme puissant. Devant mon Maître, galvanisée par sa présence, je me suis sentie encore plus chienne, dans un état second, portée par les vagues de plaisir que les sensations me procuraient. Aller au-delà, laisser parler mon envi

J'ai vécu mercredi dernier une journée exceptionnelle dont je suis très fière. Mon Maître est venu. Je Lui ai offert mon obéissance et ma soumission dans tout ce qu'Il m'a demandé. Il m'a offert de pouvoir les mettre en œuvre. Ce soir je ne relaterai pas toute cette journée. Son intensité vaut que je prenne le temps de la savourer. La photo ci-dessous illustre pour moi le mieux ma soumission totale. Dans l'obéissance, la sensation dégradante a su faire place à de la fierté. Je n'aurais pas cru pouvoir en tirer autant de plaisir.