Soumise Liberty

Le couple que nous avons rencontré était tout aussi fébrile que moi, très curieux de comprendre notre approche D/s mais avec beaucoup de questionnements car il n'était pas lui-même dans la même démarche. Le week-end a été l'occasion d'apprendre à se connaître,  de converser sur notre approche et ce qu'elle nous apporte mais pas de vivre une situation D/s.  Cela m'a plu d'exprimer ce que m'apportait notre relation,  car établir un dialogue de vive voix est différent de s'exprimer par écrit et j'ai trouvé ces échanges très enrichissants.  Les échanges ont été suivis d'une séance photo pour laquelle Liberty s'est mise en scène avec madame.  Cette séance a été très plaisante et donnera,  j'espère,  lieu à quelques publications...    

Aujourdhui, nous allons rencontrer un couple que je ne connais pas. C'est une grande inconnue et une grande première.  Je suis en même temps fébrile car je ne sais pas ce qui m'attends et en même temps heureuse et impatiente. Je m'en remets à mon Maître pour cette journée.

Je reprends l'écriture après un long temps de silence dû au tumulte provoqué par mon dernier manquement dans notre relation. Suite à l'impardonnable faute que j'ai commise en ne respectant pas une règle élémentaire d'obéissance à mon Maître, Il m'a demandé de réfléchir et a signifié un temps de pause dans notre relation. Mon Maître a totalement remis en question mon engagement en raison de cette erreur inacceptable. J'ai été très ébranlée, pleine de doutes sur mes capacités à satisfaire mon Maître, ce que je veux pourtant au plus profond de moi. Je connais la profondeur de mon engagement et j'étais désespérée d'être dans l'incapacité de trouver le moyen de combattre certains défauts profondément ancrés en moi comme l'inattention pour Lui prouver. Je suis en effet capable de m'investir totalement dans certaines des missions demandées par mon Maître et de déraper sur des exigences beaucoup moins difficiles à tenir comme de répondre sans

Chaque matin j'ai repris le rituel que vous m'aviez demandé, Maître, il y a deux ans. Je murmure en m'imprégnant de son sens la phrase suivante: "je m'appelle Liberty, je suis soumise corps et âme à Maître Arran, je dois me montrer digne de mon rang ". J'ai aussi modifié mon mot de passe d'ordinateur au travail. Il est constitué de lettres qui sont les initiales d'une partie de cette phrase dont je dois me remémorer à chaque fois que je me reconnecte. Dans cette période difficile, où Vous êtes très loin et nos interactions très limitées, c'est le moyen que j'ai trouvé pour continuer à être Liberty, et Vous mettre au centre de ce que je suis, ce que je fais, chaque jour.

J'ai manqué de respect envers mon Maître en omettant une régle élémentaire. Il est en colère. Il m'a relevée de ma fonction de Kajira pour un temps indéterminé. Je suis infiniment triste et désemparée. Je ne sais comment réparer ma faute.

J'ai maintenant inscrit dans ma chair un signe d'appartenance à mon Maître. Le jour où je suis allée me faire tatouer j'étais assez fébrile mais en même temps heureuse, tellement heureuse de signifier ainsi à mon Maître ma volonté d'afficher que je Lui appartiens. Mon Maître m'a accompagnée, nous avons choisi ensemble le motif, sa taille et l'endroit de mon corps qui serait ainsi marqué. Le tatouage en lui-même n'a pas duré très longtemps et du fait de sa faible taille la douleur occasionnée n'a pas été trop pénible. Je le trouve très beau et je le porte désormais avec une très grande fierté.

Je publie aujourd'hui mon discours d'intronisation au titre honorifique de Kajira. C'est un texte magnifique inspiré du préambule des Confessions de Jean-Jacques Rousseau qui se passe de commentaires. Je l'ai fait mien. Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitatrice. Je veux montrer à mes semblables une Femme dans toute la vérité de sa nature et cette Femme ce sera moi. Moi seule. Je sens mon cœur et je connais les Femmes. Je suis faite comme aucune de celles que j'ai vues. J'ose croire n'être faite comme aucune de celles qui existent. Si je ne vaux pas mieux au moins je suis autre. Si la nature a bien ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m'a jeté c'est ce dont on ne pourra juger qu'après m'avoir connue. Que la fin de mon engagement sonne quand Vous le déciderez, je viendrai, ces mots à la main, me présenter devant Vous mon Maître. Je dirai hautement: "

Cette semaine je vais faire un pas de plus pour montrer à mon Maître l'étendue de mon engagement. J'en suis très heureuse. Je ressens une sorte de fébrilité, de légèreté et de folie à l'idée de commettre un acte si engageant et en même temps je mesure aussi l'importance, la gravité de ce qui va se réaliser. Je vais marquer ma peau de façon indélébile. Je veux par cet acte montrer à mon Maître que je lui suis dévouée Corps et Âme. Je vais graver dans ma chair un signe d'appartenance. Maître, je me prépare pour accueillir ce moment avec joie et gravité simultanées. Votre Kajira

Le dernier week-end d'avril mon Maître m'a proposé d'aller au Clair-Obscur. J'ai été très heureuse de sa proposition car cela faisait très longtemps depuis notre dernière sortie dans ce club. Une semaine avant, mon Maître m'avait laissé entendre que nous passerions une partie du week-end ensemble. Au milieu de la semaine j'ai eu des soucis gastriques et une grosse baisse d'énergie. Lorsque mon Maitre m'a annoncé notre destination pour le week-end, je n'étais pas encore bien vaillante et j'ai été très inquiète de ne pas pouvoir me rétablir à temps pour être en forme pour cette soirée. J'ai essayé de me ménager au maximum pour me remettre.  Le samedi matin je me sentais mieux. Cependant après la route, j'ai eu un passage à vide et un besoin impératif de me reposer. Après un petit temps de repos, je me suis sentie prête. Malgré la crainte que mon corps ne me joue des tours, j'étais mentalement prête à mettre toute mon énergie au se

Mon Maître m'a demandé la semaine dernière de faire un exercice très osé. J'avoue que le défi m'a beaucoup plu. Je savais depuis quelques jours que ce soir-là j'aurais une épreuve à faire. Mon Maître m'a prévenue en fin de matinée de son contenu.  Il s'agissait de réaliser une vidéo similaire à celle d'une fille qui n'a vraiment pas froid aux yeux, Sabrina Dacos, et de Lui envoyer le soir même avant minuit. Je laisse un peu de suspense sur le contenu de cette vidéo... J'avais toute la soirée devant moi et en même temps un délai jusqu'à minuit ce qui me rendait un peu fébrile. Comme à chaque fois que j'ai eu une vidéo à faire, j'ai pris le temps de tout préparer : mes accessoires, mes habits, le placement de la caméra en réalisant différents essais pour affiner le cadrage. Je me suis aussi bien préparée en buvant énormément. Après avoir pris une bonne douche et m'être apprêtée je me suis lancée. J'avais très peur de ne p

Mon Maître est donc venu le week-end dernier et nous avons passé une soirée, une nuit et une matinée ensemble. Je ne raconterai pas tout dans le détail ici. Ce moment nous a permis d'échanger longuement sur notre relation. Mon Maître m'a rassurée sur ce que supposait pour Lui le statut de Kajira. Il est bien clair que la notion d'esclavage n'est pas le lieu de notre Contrat. Je ne suis pas une chose, dont on dispose et que que l'on peut jeter. Je suis un être vivant dont la particularité est d'appartenir entièrement à son Maître. C'est tout à fait différent. Nous avons aussi passé du temps à travailler sur la préparation de plusieurs prises de vues et en avons réalisé certaines. Nous avons notamment inauguré un très bel objet que mon Maître m'a offert lors de mon intronisation en tant que Kajira. Il s'agit d'un crochet anal. Après avoir réalisé un bondage m'immobilisant et relié au crochet, mon Maître a joué à faire vibrer le crochet

Mon Maître m'a donné rendez-vous ce week-end. Je sais que c'est pour démarrer ma nouvelle vie de Kajira. Je suis donc impatiente, un peu fébrile et pleine d'attentes. J'ai une conscience aiguë de mon nouvel engagement. J'ai passé les deux dernières semaines à y réfléchir. Être Kajira pour moi, c'est m'en remettre totalement à mon Maître, aller encore au-delà dans le don mais aussi rester pleinement actrice dans un choix consenti librement. J'ai beaucoup lu sur le net. Beaucoup de ce que j'y ai trouvé sur le statut de Kajira me déplaît et ne correspond pas à l'idée que je m'en fais. Tout ce qui s'apparente à de l'esclavage me gêne . Un esclave n'a pas le choix de son statut. Il le subit. Ce n'est pas mon cas. J'ai pris conscience aussi au fur et à mesure de ces lectures de l'importance de la relation qui me lie à mon Maître. Je ne l'ai peut être pas exprimé clairement dans mon dernier écrit. Je ne pourr

Mon Maître a décidé de m'élever au rang de Kajira. Je suis très honorée et fière de ce changement de statut, signe de reconnaissance par mon Maître de mes progrès et de mon engagement dans ma position de soumise depuis trois ans. Ce titre n'est pas seulement honorifique. Mon nouveau statut induit une modification de certaines clauses de notre Contrat qui renforcent mon engagement. Il y en a une tout particulièrement difficile pour moi qui stipule que tout manquement aux ordres de mon Maître peut donner lieu à la rupture pure et simple du Contrat. J'accepte avec soumission et respect cette clause malgré l'immense peur qu'elle induit chez moi car il m'est déjà arrivé de faillir à Ses ordres malgré un investissement total dans notre relation ; l'enjeu sous-tendu est une réelle source d'angoisse pour moi. J'ai pleine conscience que m'engager ainsi signifie que je vais avoir des épreuves très difficiles à surmonter. Mais je réaffirme en accepta

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Maître, Cela fait trois ans aujourd'hui que je suis Votre soumise. Je souhaite à cette occasion Vous renouveler ma soumission totale et ce malgré toutes mes imperfections, malgré mes manquements et malgré mes peurs. Je souhaite plus que tout Vous satisfaire et Vous rendre fier. J'espère que certaines de mes réalisations, cette année, Vous ont procuré satisfaction. Je Vous promets de chercher à m'améliorer chaque jour. Je Vous offre aujourd'hui ce croquis par lequel je Vous exprime ma condition de soumise : je suis Vôtre, corps et âme.

Je souhaite exprimer dans ce billet mes ressentis par rapport à nos séances d'uro. Pisser en me regardant dans une glace, en observant mon sexe maintenu ouvert entre mes doigts, voilà l'exercice que mon Maître a souhaité que je réalise, en sa présence, il y a quelques semaines. Malgré ma forte envie, je n'ai pas réussi à Le satisfaire. Et pourtant, cette fois-ci, j'avais pris un réel plaisir à faire monter l'excitation et à penser à pisser en même temps car depuis notre dernière séance uro, je m'étais entraînée à ressentir la montée du plaisir dans un état où j'ai la vessie pleine et à lâcher mon urine tout en me caressant. Je vois bien donc que l'entraînement m'a permis d'aller de façon assez intense dans le plaisir que peut procurer la miction et c'est un réel progrès pour moi. Cependant, devant mon Maître, devant cette glace, assise les jambes écartées, je n'ai pas réussi à lâcher, à expulser, tout au plus quelques gouttes se s

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