Le dernier week-end d'avril mon Maître m'a proposé d'aller au Clair-Obscur.
J'ai été très heureuse de sa proposition car cela faisait très longtemps depuis notre dernière sortie dans ce club.
Une semaine avant, mon Maître m'avait laissé entendre que nous passerions une partie du week-end ensemble. Au milieu de la semaine j'ai eu des soucis gastriques et une grosse baisse d'énergie. Lorsque mon Maitre m'a annoncé notre destination pour le week-end, je n'étais pas encore bien vaillante et j'ai été très inquiète de ne pas pouvoir me rétablir à temps pour être en forme pour cette soirée. J'ai essayé de me ménager au maximum pour me remettre.
Le samedi matin je me sentais mieux. Cependant après la route, j'ai eu un passage à vide et un besoin impératif de me reposer. Après un petit temps de repos, je me suis sentie prête. Malgré la crainte que mon corps ne me joue des tours, j'étais mentalement prête à mettre toute mon énergie au service de mon Maître.
La soirée a été à la hauteur de mes attentes !
Mon Maître m'a demandé me vêtir d'une tenue très très légère : mon collier de soumise, un corset en cuir avec des pinces à sein reliées par une chaînette, une veste en simili cuir ajourée dans le dos et un porte-jarretelle et des bas pour unique tenue.
Nous sommes partis ainsi dans le village naturiste alors qu'il ne faisait vraiment pas très chaud. Heureusement j'avais également une étole pour me couvrir un petit peu.
Il n'y avait pas beaucoup de monde et je me suis sentie très observée. Cela n'a pas été pour me déplaire. Nous avons commencé la soirée en prenant un verre dans un bar assez désert mais de ce fait nous avons échangé avec les patrons et ce fût très convivial.
Au Clair-Obscur, nous avons retrouvé cette ambiance si particulière qui nous plaît tant. Le club s'est rempli petit à petit et cela nous a permis de vivre une fois de plus une très belle soirée.
Après s'être un peu restaurés, mon Maître m'a demandé de mettre mon Rosebub queue de cheval puis de déambuler dans le club pour observer ce qui s'y passait. Ce qui m'a le plus frappée lors de ce premier tour c'est l'endurance à la douleur de certains soumis(e) dont on avait du mal à percevoir le mouvement à la réception de coups qui paraissaient pourtant très violents.
Mon Maître m'a rejoint puis mystérieusement laissé seule à nouveau assise dans le coin du bar. J'étais un peu mal à l'aise d'attendre sans rien faire mais il est revenu avec un cadeau :
Un superbe fouet rouge et noir, que l’on nomme un Snake qui m'a fait frémir quand je l'ai vu ....
Nous avons ainsi démarré notre séance en le testant. Mon Maître m'a placée les mains contre un mur et les jambes bien écartées, les fesses tendues. Il a commencé à me fouetter doucement mais le fil du Snake s'est enroulé sur moi et cela a été très dur parce qu'il a touché la chaînette de mes pinces à seins et cela a été très douloureux. Je Lui ai donc demandé de les enlever car la douleur était très forte et disproportionnée par rapport à celle que je sentais sur le reste de mon corps. Cette première séance ne fut pas trop violente mais m'a donné un très bel avant-goût des possibilités du Snake.
Après un temps de repos, nous avons enchaîné par une séance où mon Maitre m'a bandé le yeux et faite agenouillée sur un prie-Dieu.
Je ne savais pas quel instrument Il utilisait mais les coups sur mes fesses étaient cinglants et j'ai eu du mal à retenir mes cris lorsque les coups sont tombés à plusieurs reprise au même endroit. J'ai enduré et j'en ai été fière. Il s'agissait de baguettes de bois plus ou moins fraîches.
Nous avons fait ensuite une pause pour que je reprenne mes esprits et durant cette pause, nous avons eu la chance d'observer le spectacle d'une séance de bondage, en suspension très intense.
J'ai vraiment admiré la dextérité du Maître et l'extrême endurance de la soumise qui a tenu une position difficile, acrobatique et nécessitant beaucoup de souplesse pendant un temps très long. Je me suis identifiée, me surprenant à retenir ma respiration comme en symbiose avec la soumise. Ce fût un spectacle très impressionnant.
Le thème de la soirée était la nature. Aussi après les baguettes de bois mon Maitre m'a fait découvrir les orties... une drôle d'expérience avec une sensation inédite. Un feu qui brûle et reste longtemps, longtemps...
Mon Maître m'a proposé alors une nouvelle séance avec le snake. Il m'a accroché les poignets les bras écartés , jambes écartées. J'ai enduré alors une séance bien plus intense avec plaisir et souffrance mêlés. Mon corset m'a un peu protégée . Plusieurs fois mon Maître a pris soin de vérifier si j'allais bien et dans cette relation de confiance, je Lui ai demandé plusieurs fois de continuer, repoussant un peu plus mes limites ...
C'est finalement la dernière séance qu'on aurait pu penser plus douce qui en réalité m'a fait atteindre un point de non-retour. Mon Maître m'avait attachée sur un fauteuil gynéco et s'est amusé avec mon plaisir un long moment en alternant roulette de wartenberg, petit vibromasseur et magic wand. En fait, je n'ai absolument pas supporté la roulette de wartenberg couplée au vibromasseur sur mes seins. Je pense que c'est lié à l'hypersensibilité de ces derniers après le port des pinces à sein. Je me suis sentie idiote de réagir aussi violemment et de ne pas supporter. J'ai fini par hurler que je voulais arrêter mais sans réussir à prononcer le ‘safeword’, un peu comme si ce mot ne pouvait servir que pour de la douleur extrême par des coups mais pas par des caresses. J'ai réalisé que c'était aussi important dans ce genre d'exercice. Je promets de l'utiliser à l'avenir en tout type de circonstance.
Je souhaite remercier mon Maître pour cette si belle soirée qui j'espère Lui a autant plu qu'à moi.
J'ai été très heureuse de sa proposition car cela faisait très longtemps depuis notre dernière sortie dans ce club.
Une semaine avant, mon Maître m'avait laissé entendre que nous passerions une partie du week-end ensemble. Au milieu de la semaine j'ai eu des soucis gastriques et une grosse baisse d'énergie. Lorsque mon Maitre m'a annoncé notre destination pour le week-end, je n'étais pas encore bien vaillante et j'ai été très inquiète de ne pas pouvoir me rétablir à temps pour être en forme pour cette soirée. J'ai essayé de me ménager au maximum pour me remettre.
Le samedi matin je me sentais mieux. Cependant après la route, j'ai eu un passage à vide et un besoin impératif de me reposer. Après un petit temps de repos, je me suis sentie prête. Malgré la crainte que mon corps ne me joue des tours, j'étais mentalement prête à mettre toute mon énergie au service de mon Maître.
La soirée a été à la hauteur de mes attentes !
Mon Maître m'a demandé me vêtir d'une tenue très très légère : mon collier de soumise, un corset en cuir avec des pinces à sein reliées par une chaînette, une veste en simili cuir ajourée dans le dos et un porte-jarretelle et des bas pour unique tenue.
Nous sommes partis ainsi dans le village naturiste alors qu'il ne faisait vraiment pas très chaud. Heureusement j'avais également une étole pour me couvrir un petit peu.
Il n'y avait pas beaucoup de monde et je me suis sentie très observée. Cela n'a pas été pour me déplaire. Nous avons commencé la soirée en prenant un verre dans un bar assez désert mais de ce fait nous avons échangé avec les patrons et ce fût très convivial.
Au Clair-Obscur, nous avons retrouvé cette ambiance si particulière qui nous plaît tant. Le club s'est rempli petit à petit et cela nous a permis de vivre une fois de plus une très belle soirée.
Après s'être un peu restaurés, mon Maître m'a demandé de mettre mon Rosebub queue de cheval puis de déambuler dans le club pour observer ce qui s'y passait. Ce qui m'a le plus frappée lors de ce premier tour c'est l'endurance à la douleur de certains soumis(e) dont on avait du mal à percevoir le mouvement à la réception de coups qui paraissaient pourtant très violents.
Mon Maître m'a rejoint puis mystérieusement laissé seule à nouveau assise dans le coin du bar. J'étais un peu mal à l'aise d'attendre sans rien faire mais il est revenu avec un cadeau :
Un superbe fouet rouge et noir, que l’on nomme un Snake qui m'a fait frémir quand je l'ai vu ....
Nous avons ainsi démarré notre séance en le testant. Mon Maître m'a placée les mains contre un mur et les jambes bien écartées, les fesses tendues. Il a commencé à me fouetter doucement mais le fil du Snake s'est enroulé sur moi et cela a été très dur parce qu'il a touché la chaînette de mes pinces à seins et cela a été très douloureux. Je Lui ai donc demandé de les enlever car la douleur était très forte et disproportionnée par rapport à celle que je sentais sur le reste de mon corps. Cette première séance ne fut pas trop violente mais m'a donné un très bel avant-goût des possibilités du Snake.
Après un temps de repos, nous avons enchaîné par une séance où mon Maitre m'a bandé le yeux et faite agenouillée sur un prie-Dieu.
Je ne savais pas quel instrument Il utilisait mais les coups sur mes fesses étaient cinglants et j'ai eu du mal à retenir mes cris lorsque les coups sont tombés à plusieurs reprise au même endroit. J'ai enduré et j'en ai été fière. Il s'agissait de baguettes de bois plus ou moins fraîches.
Nous avons fait ensuite une pause pour que je reprenne mes esprits et durant cette pause, nous avons eu la chance d'observer le spectacle d'une séance de bondage, en suspension très intense.
J'ai vraiment admiré la dextérité du Maître et l'extrême endurance de la soumise qui a tenu une position difficile, acrobatique et nécessitant beaucoup de souplesse pendant un temps très long. Je me suis identifiée, me surprenant à retenir ma respiration comme en symbiose avec la soumise. Ce fût un spectacle très impressionnant.
Le thème de la soirée était la nature. Aussi après les baguettes de bois mon Maitre m'a fait découvrir les orties... une drôle d'expérience avec une sensation inédite. Un feu qui brûle et reste longtemps, longtemps...
Mon Maître m'a proposé alors une nouvelle séance avec le snake. Il m'a accroché les poignets les bras écartés , jambes écartées. J'ai enduré alors une séance bien plus intense avec plaisir et souffrance mêlés. Mon corset m'a un peu protégée . Plusieurs fois mon Maître a pris soin de vérifier si j'allais bien et dans cette relation de confiance, je Lui ai demandé plusieurs fois de continuer, repoussant un peu plus mes limites ...
C'est finalement la dernière séance qu'on aurait pu penser plus douce qui en réalité m'a fait atteindre un point de non-retour. Mon Maître m'avait attachée sur un fauteuil gynéco et s'est amusé avec mon plaisir un long moment en alternant roulette de wartenberg, petit vibromasseur et magic wand. En fait, je n'ai absolument pas supporté la roulette de wartenberg couplée au vibromasseur sur mes seins. Je pense que c'est lié à l'hypersensibilité de ces derniers après le port des pinces à sein. Je me suis sentie idiote de réagir aussi violemment et de ne pas supporter. J'ai fini par hurler que je voulais arrêter mais sans réussir à prononcer le ‘safeword’, un peu comme si ce mot ne pouvait servir que pour de la douleur extrême par des coups mais pas par des caresses. J'ai réalisé que c'était aussi important dans ce genre d'exercice. Je promets de l'utiliser à l'avenir en tout type de circonstance.
Je souhaite remercier mon Maître pour cette si belle soirée qui j'espère Lui a autant plu qu'à moi.
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