Mon Maître est donc venu le week-end dernier et nous avons passé une soirée, une nuit et une matinée ensemble.
Je ne raconterai pas tout dans le détail ici.
Ce moment nous a permis d'échanger longuement sur notre relation. Mon Maître m'a rassurée sur ce que supposait pour Lui le statut de Kajira. Il est bien clair que la notion d'esclavage n'est pas le lieu de notre Contrat. Je ne suis pas une chose, dont on dispose et que que l'on peut jeter. Je suis un être vivant dont la particularité est d'appartenir entièrement à son Maître. C'est tout à fait différent.
Nous avons aussi passé du temps à travailler sur la préparation de plusieurs prises de vues et en avons réalisé certaines.
Nous avons notamment inauguré un très bel objet que mon Maître m'a offert lors de mon intronisation en tant que Kajira. Il s'agit d'un crochet anal. Après avoir réalisé un bondage m'immobilisant et relié au crochet, mon Maître a joué à faire vibrer le crochet avec un vibromasseur par l'intermédiaire des cordes. Cela m'a procuré des sensations quelque peu inédites et très puissantes. Cela a été une découverte pour moi, que j'ai tout particulièrement appréciée.
Le week-end a été émaillé d'épreuves destinées je pense à me faire sentir et comprendre mon statut de Kajira. Cela n'a pas été sans difficulté pour moi mais en même temps je les ai acceptées avec soumission puisque les réaliser signifiait une preuve de mon engagement et... je n'avais pas le choix.
Les épreuves les plus dures ont été celles où il a fallu que je me mette en situation avec un grand risque de me faire surprendre par des voisins ou des connaissances.
Ainsi, j'ai dû me mettre toute nue sur mon balcon avec seulement mon collier de Kajira et des pinces à sein très visibles.
J'ai aussi dû descendre dans mon garage afin d'aller chercher des accessoires avec mon collier de Kajira, des pinces à sein, maquillée de façon inhabituelle et totalement nue sous mon manteau. Les pinces à seins en frottant le manteau étaient douloureuses et je me suis vraiment sentie très mal quand j'ai rencontré ma voisine de palier en sortant de l'ascenseur ainsi qu'une connaissance de travail qui habite dans la résidence et que je croise très rarement.
Le dimanche matin nous sommes partis prendre un pot dans un petit village voisin. Mon Maître avait réalisé un bondage et je suis sortie en ne portant qu'un manteau par-dessus celui-ci. Il se voyait un petit peu au niveau du cou et j'étais maquillée plus que de coutume.
Cela a été particulièrement difficile car sur la petite terrasse du bar où on nous sommes allés il y avait une connaissance que je salue d'ordinaire lorsque je la croise. Il portait une tenue sportive, les cheveux attachés d'une façon inaccoutumée. Aussi -je ne sais pas pourquoi- j'ai fait comme si je ne l'avais pas reconnu et je l'ai ignoré. Mais j'ai vécu en tension tout le temps où nous avons bu notre café car j'avais le sentiment qu'il me regardait sans cesse et j'avais peur que mon Maître me demande de converser et qu'il nous entende.
Je reste, malgré ces épreuves, fière et heureuse d'être désormais Kajira.
Je ne raconterai pas tout dans le détail ici.
Ce moment nous a permis d'échanger longuement sur notre relation. Mon Maître m'a rassurée sur ce que supposait pour Lui le statut de Kajira. Il est bien clair que la notion d'esclavage n'est pas le lieu de notre Contrat. Je ne suis pas une chose, dont on dispose et que que l'on peut jeter. Je suis un être vivant dont la particularité est d'appartenir entièrement à son Maître. C'est tout à fait différent.
Nous avons aussi passé du temps à travailler sur la préparation de plusieurs prises de vues et en avons réalisé certaines.
Nous avons notamment inauguré un très bel objet que mon Maître m'a offert lors de mon intronisation en tant que Kajira. Il s'agit d'un crochet anal. Après avoir réalisé un bondage m'immobilisant et relié au crochet, mon Maître a joué à faire vibrer le crochet avec un vibromasseur par l'intermédiaire des cordes. Cela m'a procuré des sensations quelque peu inédites et très puissantes. Cela a été une découverte pour moi, que j'ai tout particulièrement appréciée.
Le week-end a été émaillé d'épreuves destinées je pense à me faire sentir et comprendre mon statut de Kajira. Cela n'a pas été sans difficulté pour moi mais en même temps je les ai acceptées avec soumission puisque les réaliser signifiait une preuve de mon engagement et... je n'avais pas le choix.
Les épreuves les plus dures ont été celles où il a fallu que je me mette en situation avec un grand risque de me faire surprendre par des voisins ou des connaissances.
Ainsi, j'ai dû me mettre toute nue sur mon balcon avec seulement mon collier de Kajira et des pinces à sein très visibles.
J'ai aussi dû descendre dans mon garage afin d'aller chercher des accessoires avec mon collier de Kajira, des pinces à sein, maquillée de façon inhabituelle et totalement nue sous mon manteau. Les pinces à seins en frottant le manteau étaient douloureuses et je me suis vraiment sentie très mal quand j'ai rencontré ma voisine de palier en sortant de l'ascenseur ainsi qu'une connaissance de travail qui habite dans la résidence et que je croise très rarement.
Le dimanche matin nous sommes partis prendre un pot dans un petit village voisin. Mon Maître avait réalisé un bondage et je suis sortie en ne portant qu'un manteau par-dessus celui-ci. Il se voyait un petit peu au niveau du cou et j'étais maquillée plus que de coutume.
Cela a été particulièrement difficile car sur la petite terrasse du bar où on nous sommes allés il y avait une connaissance que je salue d'ordinaire lorsque je la croise. Il portait une tenue sportive, les cheveux attachés d'une façon inaccoutumée. Aussi -je ne sais pas pourquoi- j'ai fait comme si je ne l'avais pas reconnu et je l'ai ignoré. Mais j'ai vécu en tension tout le temps où nous avons bu notre café car j'avais le sentiment qu'il me regardait sans cesse et j'avais peur que mon Maître me demande de converser et qu'il nous entende.
Je reste, malgré ces épreuves, fière et heureuse d'être désormais Kajira.
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