Séances uro, apprentissage, plaisir et difficultés

Punition

Mon Maître est venu pour me punir de mon manque d'attention.

Il m'a dit de me tenir prête chez moi, nue, le corps parfaitement apprêté, une cagoule occultante sur la tête, dans la posture d'humilité, c'est-à-dire à genoux, prosternée, la tête au sol les bras et les mains tendus devant la tête.

Il m'a demandé de m'allonger complètement sur le sol, Il a pris des cordes qu'Il m'avait demandé de préparer et Il m'a attachée par les poignets, les genoux et les chevilles dans une posture difficile à tenir et avec des liens assez serrés, terminés par un nœud coulant autour du cou, la tête au sol, posée sur le côté. Avec la cagoule et le nœud coulant, je dois dire que, dans cette posture, j'avais du mal à respirer.

Il m'a alors demandé de répéter durant trente minutes la phrase suivante :

"Je m'appelle Liberty, je suis soumise corps et âme à Maître Arran. Je dois me montrer digne de mon Maître."

Au cours de la demi-heure, Il m'a demandé de déclamer la phrase plus fort, au point même de la crier puis de finir en la murmurant.

J'ai pris à cœur de prononcer cette phrase, de me concentrer sur son sens très fort, même si la douleur se faisait pressante dans les épaules, les articulations, dans les doigts de pieds. J’ai eu plusieurs fois des débuts de crampes que j'ai réussi à contenir en bougeant légèrement pour essayer de les évacuer.

Les dernières minutes de cette punition ont été difficiles au point que j'ai dû évacuer la tension en laissant échapper des larmes qui m'ont empêchée de respirer à travers ma cagoule.

Mon Maître m'a libérée en prenant grand soin de moi car Il avait vu à quel point cette punition avait généré une tension chez moi. Je Lui suis très reconnaissante de la façon dont Il m'a rassurée à ce moment-là par ses mots et ses gestes d'une grande bienveillance.

Après que j'ai pu reprendre mes esprits en buvant un verre d'eau, Il m'a demandé de reprendre la posture initiale d’humilité, m'a dit qu'Il reviendrait le soir suivant, m’a demandé de me tenir prête à la même heure, dans la même posture mais que ce serait pour une séance plus douce où Il viendrait faire une photo qu'Il m'a promise il y a quelque temps. Il a rangé les cordes, m'a touché le dos avec sollicitude et s'en est allé.

J'ai repris mes esprits doucement car j'étais éprouvée, j ai pris une photo de mes jambes marquées que je livre ici. Je sais que cette séance était nécessaire. Je suis fière de l'avoir endurée et de m'être imprégnée de mon statut de soumise.