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Exercice de tension sexuelle.

 

Mon Maître m’a demandé de réaliser un exercice de tension sexuelle osé dont voici les instructions :

 

« À partir de cet instant et jusqu'à nouvel ordre, vous allez oublier tout sous-vêtement. Vous pouvez être nue, en robe ou jupe et petit haut. Vous devrez garder les jambes écartées en permanence, plus ou moins largement en fonction de ce que la situation vous impose. En aucun cas vous ne devez serrer les jambes ou les croiser. À tout moment vous devez sentir l'air sur votre sexe. Vous devez, en permanence profiter de cet air et de cette liberté pour faire monter en vous une tension sexuelle prononcée. À chaque fois que cette tension deviendra trop forte, vous devrez vous caresser et jouir si nécessaire pour l'évacuer. Toujours en fonction de la situation, vous pouvez vous isoler pour ce faire, par contre, vous n'avez pas le droit de réfréner ce besoin. Cet ordre est valable de jour comme de nuit. Mémorisez vos sensations et vos actions, je vous demanderai un compte-rendu à la fin de l'exercice. »

 

Voici le compte-rendu de ce que j’ai réalisé avec fierté durant les trois jours qui ont suivi.

 

Premier après-midi :

 

je me suis préparée pour l'arrivée de mon amoureux. Avant de recevoir les instructions de mon Maître, j'avais déjà l'intention de passer un moment calme pour être bien détendue et de me mettre nue. Je me suis allongée sur un pouf dans le courant d'air que j'avais ménagé dans mon salon et j'ai profité de la sensation. Lorsque mon amoureux est arrivé, nous avons passé un moment paisible ensemble. Je me suis aperçue que je croisais souvent les jambes par habitude et j'ai donc essayé de me corriger. Fatigué par une courte nuit, il a voulu faire un petit somme. Je me suis allongée sur le canapé, la tête sur ses genoux, j'ai fermé les yeux et j'ai eu envie de me masturber. Je l'ai fait sans retenue et j'ai pris beaucoup de plaisir à faire monter mon envie doucement. Ensuite nous avons décidé de faire un tour en ville pour prendre un verre. Je me suis dit qu'à moto cela serait compliqué d'être en jupe aussi j'ai proposé la voiture mais il a insisté pour la moto. J'étais assez ennuyée ; j'ai commencé à mettre un pantalon tout en me disant que c’était impossible puisque je voulais respecter les consignes de mon Maître. Heureusement, après discussion, mon amoureux m'a laissé entendre que l'on ne roulerait pas vite et que je pouvais me mettre en short aussi j'ai décidé de rester en robe. Le moment passé sur la moto a été très excitant ; l'air circulait très agréablement et j'ai vraiment pris conscience de ce que je faisais et du fait que personne ne le savait ; c'était vraiment bandant.

 

Première nuit :

 

au moment de me coucher je n'avais pas trop sommeil ; nous nous sommes allongés côte à côte avec mon amoureux et caressés doucement. J'ai eu à nouveau envie de me caresser un peu dans la même veine que durant l'après-midi. Je l'ai fait tranquillement en prenant mon temps. Ce qui, d'un côté, m'a aidé c'est que mon amoureux aime ce genre d'initiative mais en même temps cela m'a gêné car l’envie était aussi liée à la demande de mon Maître et l’idée de ne pas être totalement transparente avec lui me dérange profondément.

 

Premier matin :

 

j'ai mis une simple robe assez droite mais qui me permet d'écarter les jambes. Quand je me suis installée au bureau, ma voisine de gauche n'étant pas là, j'ai pris mes aises et j'ai bien remonté ma robe pour pouvoir écarter les jambes. J'ai travaillé une bonne partie de la matinée dans cette posture en sentant l'air passer entre mes cuisses. Cela me donnait envie de me caresser ce que j'ai fait de temps en temps. J'ai senti que j'étais humide mais je ne suis pas allée jusqu'à l’orgasme, la sensation étant vraiment fort agréable juste comme cela. Il y avait toujours dans mon esprit l'idée que les personnes passant devant le bureau ou travaillant à côté de moi ne savent pas ce qui se passe. Lorsque nous sommes descendus manger j'ai continué à bien penser à écarter les jambes pendant le repas et je sentais mon sexe humide. C’était aussi bien excitant.

 

Deuxième après-midi :

 

j'ai continué à travailler, les jambes légèrement écartées. Il n'y avait pas trop de monde ni de passage dans le bureau mais tout de même quelques personnes dans les carrés d'à côté. Se masturber en les écoutant a été particulièrement jouissif. Je l'ai fait au point de sentir une tension très forte monter. Je me suis rappelée que mon Maître m’avait dit que je pouvais m'isoler pour aller jusqu'au bout de ma jouissance mais en même temps, me souvenant d’un exercice que j'avais fait récemment et qui m'avait procuré de la fierté, je me suis dit que je pouvais jouir en silence, juste là, assise à mon bureau. J'ai donc poussé au bout mes caresses et j'ai été assez fière de faire cela dans un contexte beaucoup moins tendu que la dernière fois puisqu'il n'y avait à proximité que ma collègue qui me tourne le dos, située derrière moi, et personne à côté. Mais en même temps, je savais qu’à deux mètres de moi se trouvaient des collègues qui ne se doutaient pas du tout de ce que je faisais et cela donnait de la puissance à mes gestes. Ce fût très intense. Après avoir mené au bout ma tension, je restais dans la même posture, avec la sensation de mon sexe bien présent mais sans renouveler mes caresses plutôt en jouissant a posteriori de ce que je venais de faire.

 

Le soir, revenue chez moi, nous sommes allés nous promener avec mon amoureux au bord de la rivière qui se situe près de chez moi. J'étais encore dans la continuité de mon expérience de l'après-midi, j'ai gardé la posture que mon Maître a exigé mais n'ai pas réussi à faire remonter une tension sexuelle au point d'avoir à nouveau envie de jouir. Je crois que l'expérience de l'après-midi avait épuisé mon énergie.

 

Seconde nuit :

 

une fois allongée, je me suis positionnée les jambes très écartées dans une posture assez obscène. Je me suis concentrée sur le ressenti de l'air sur mon sexe ainsi ouvert. J'ai ensuite touché délicatement mon sexe avec juste un doigt tout d'abord au niveau du clitoris pour faire monter la tension puis au niveau de mon vagin avec en pensée des images de sexes en érection. J'avais posé la main sur le sexe de mon amoureux en même temps et je ressentais une tension de plus en plus grande. J'ai pris mon temps avec des touchers très légers puis plus profonds de manière à ressentir une tension de plus en plus grande, mon sexe de plus en plus brûlant, jusqu'au point de non-retour. Le fait que mon amoureux se soit réveillé de son demi-sommeil et me parle de son ressenti sur ce qu’il sentait de moi a contribué à mon excitation déjà très grande.

 

Second matin :

 

le matin au travail je ne suis pas restée très longtemps à mon bureau car nous avons eu une longue réunion dans le bureau de ma chef. Durant cette réunion, j'ai bien pensé à écarter les jambes et plusieurs fois j'étais assez déconcentrée par rapport à la réunion à cause de cela. J’ai plusieurs fois contracté mon périnée afin de sentir plus intensément mon sexe. Revenue à mon bureau, j'ai eu plusieurs appels téléphoniques à faire et je n'ai pas pu profiter de cette tension que j'avais commencé à instaurer car il s’agissait d’appels importants où il me fallait rester assez concentrée sur la discussion avec mon interlocuteur.

 

Lorsque nous sommes descendus manger je me suis concentrée sur ma posture notamment durant le moment où nous avons pris le café dehors. Il y avait beaucoup de vent et, les jambes un peu écartées, je sentais beaucoup d'air sur les jambes, les cuisses et le sexe. Quand je suis remontée au bureau nous avons parlé quelques minutes avec deux collègues des problèmes que l’une d’elle rencontrait avec une de ses filles et debout les jambes écartées je commençais à avoir une envie d'uriner. Je me suis mise à imaginer que cette envie pouvait être réprimée et pouvait en même temps me procurer du plaisir. Une fois la conversation terminée, je suis allée dans les toilettes et je me suis masturbée toujours avec la vessie pleine avec l'impression que j'allais uriner d'un instant à l'autre. Je me suis adossée au mur les jambes assez écartées et je me suis caressée jusqu'à la jouissance. Dans cette posture j’ai réalisé que j’étais alors pleinement Liberty.

 

Troisième après-midi et troisième soirée :

 

après l'exercice du midi j'ai eu besoin d'une pause un peu comme une période réfractaire. J'ai continué dans la posture jambes écartées comme mon Maître me l'avait demandé mais je n'ai pas eu envie de m’exciter de nouveau surtout que j'avais aussi un petit picotement, une irritation, au niveau de la vulve comme si elle voulait me faire sentir qu’elle avait été comblée. Quand je suis rentrée chez moi, je me suis retrouvée seule un petit moment avant que mon amoureux n'arrive. Je me suis allongée sur un pouf sur la terrasse afin de me reposer et de profiter de l'air mais de la même façon que durant l’après-midi, j'ai juste profité de la sensation et je ne suis pas allée me solliciter pour augmenter mon état d'excitation ; je sentais comme une sorte de saturation et la sensation de brûlure est restée une bonne partie de la soirée.

 

Troisième matin :

 

le matin au réveil après du repos, les caresses de mon amoureux ont réveillé mes sensations et j'ai eu à nouveau envie de poursuivre en me caressant. Il a dû se lever car il avait du travail mais moi je suis restée, je me suis caressée doucement et j'ai basculé sur le ventre pour me mettre dans posture différente des fois précédentes. J'aime me mettre dans ce type de posture un peu obscène, les fesses relevées et tendues. Cela favorise mon imaginaire et augmente assez rapidement mon excitation. Je suis venue au plaisir assez vite. Mon amoureux m'a dit m'avoir observée et être étonné de me voir jouir en silence. Je me suis alors rendu compte que pour faire tous les exercices que mon Maître m'avait demandés, j’avais agis de la façon la plus discrète possible et ceci même chez moi.

 

Au travail, j'ai dû mettre un peu les bouchées doubles car je partais en congés le soir mais je n'ai pas oublié de garder les jambes bien ouvertes. Cependant la séance du matin m'avait un peu repue et je n'ai pas trouvé d’occasions excitantes et différentes des précédentes avant le repas du midi. Quand je suis remontée du repas, ma collègue qui est dans le même carré est partie assez vite car elle prenait son après-midi et je me suis retrouvée seule dans la zone de bureau avec juste le bruit de quelques personnes situées un peu plus loin. Je me suis dit que c’était l’occasion, j'allais jouir à mon bureau, en prenant mon temps en faisant des mouvements un peu moins discrets et éventuellement même en soupirant puisque personne autour ne pouvait m'entendre vraiment. Cela a été assez intense notamment parce que j'avais encore une envie d'uriner qui était venue et que cela augmente les sensations au niveau de ma vulve. Plusieurs fois la porte qui donne sur le couloir du café s'est ouverte et des personnes ont traversé à quelques mètres de mon bureau et cela m'a aussi beaucoup excitée.


Dans l’après-midi mon Maître m’a signifié la fin de l’exercice.











Commentaires

  1. Bonjourno SOUMISE Liberty, aujourd'hui vous arrive t il sans instruction de votre Maître de ne pas porter de sous vêtements ? le faire avec un certain plaisir ; une envie d'exhibition.... Ou porter des vêtements qui laissent transparaître votre lingerie ? par exemple pendant votre sport .... pour que les hommes et femmes vous regardent d'un oeil délicat ....Bien à vous

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    Réponses
    1. Bonjour Monsieur, 


      Tout d'abord je tiens à m'excuser de la publication tardive de votre commentaire qui avait échoué dans mes messages indésirables. 

      Pour répondre à votre question, oui cela m'arrive de ne pas porter de sous-vêtements et d'en tirer un plaisir certain. Le plaisir le plus immédiat est nul doute la sensation de liberté physique que cela procure , mais il en est un second, beaucoup plus cérébral qui est celui de  commettre un acte osé que nul ne soupçonne et qui met dans une position de fierté  "Ah, si ils savaient..." en revanche nulle envie d'exhibition réelle c'est plus une sensation interne vis-à-vis de l'extérieur,  un fantasme. le ressort n'est pas dans ces cas-là l'excitation liée au fait de pouvoir être découverte.


      Liberty

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