Ce week-end est le premier week-end où la chaleur se fait sentir.
C'est le soir, il fait chaud, je me suis mise nue sur ma terrasse pour goûter un peu de la brise légère qui s'est levée. J'observe la ville, ses lumières, je me tiens droite et fière, les jambes un peu écartées.
Je ressens cet air qui me caresse la peau, je ressens le plaisir qu'il me donne, je ressens une pointe de désir au fond de moi. Je suis bien, j'ai envie de caresse.
Et si j'osais... ici, là, devant la ville éclairée, et si j'osais aller au fond de ce désir qui pointe ?
Je me tiens là, fière, et je me dis que je peux me laisser aller et dire à cet espace qui me regarde ce que je ressens librement, avec l'audace assumée de Liberty.
Je commence à me caresser doucement. J’entends des voix au loin, des voitures qui manœuvrent sur le parking situé juste en bas. Je ne suis pas seule, cela ne me déplaît pas, je me sens audacieuse. Les lumières des réverbères éclairent une partie de mon corps ; je suis là, debout, et je laisse aller mon envie.
Je sens que je deviens humide. Mes doigts se promènent sur mes cuisses, mes fesses. Ils effleurent mon sexe qui tressaille. Je suis là, debout, et mes doigts fouillent mon intérieur, je frémis. Ils se posent sur mon clitoris gonflé de désir. Celui-ci est tendu également car ma vessie n'est pas vide et cette tension est délicieuse. Une douce chaleur m’envahit.
Je vous imagine Maître me regardant, ce n’est pas un exercice imposé, Il m’est venu naturellement et je veux Vous l’offrir.
Je soupire très doucement pour ne pas gêner les voisins directs mais en moi une tension sourde monte, je me caresse plus intensément. Quelque chose de violent se passe, la tension enfle, je m’appuie contre le mur, je regarde la ville, les seins fièrement pointés vers elle. Cela vient du fond de mes entrailles, très vite, comme une urgence à expulser, dans un souffle à peine audible, mais à la vue de qui aurait voulu lever la tête.
Je suis bien et fière.
C'est le soir, il fait chaud, je me suis mise nue sur ma terrasse pour goûter un peu de la brise légère qui s'est levée. J'observe la ville, ses lumières, je me tiens droite et fière, les jambes un peu écartées.
Je ressens cet air qui me caresse la peau, je ressens le plaisir qu'il me donne, je ressens une pointe de désir au fond de moi. Je suis bien, j'ai envie de caresse.
Et si j'osais... ici, là, devant la ville éclairée, et si j'osais aller au fond de ce désir qui pointe ?
Je me tiens là, fière, et je me dis que je peux me laisser aller et dire à cet espace qui me regarde ce que je ressens librement, avec l'audace assumée de Liberty.
Je commence à me caresser doucement. J’entends des voix au loin, des voitures qui manœuvrent sur le parking situé juste en bas. Je ne suis pas seule, cela ne me déplaît pas, je me sens audacieuse. Les lumières des réverbères éclairent une partie de mon corps ; je suis là, debout, et je laisse aller mon envie.
Je sens que je deviens humide. Mes doigts se promènent sur mes cuisses, mes fesses. Ils effleurent mon sexe qui tressaille. Je suis là, debout, et mes doigts fouillent mon intérieur, je frémis. Ils se posent sur mon clitoris gonflé de désir. Celui-ci est tendu également car ma vessie n'est pas vide et cette tension est délicieuse. Une douce chaleur m’envahit.
Je vous imagine Maître me regardant, ce n’est pas un exercice imposé, Il m’est venu naturellement et je veux Vous l’offrir.
Je soupire très doucement pour ne pas gêner les voisins directs mais en moi une tension sourde monte, je me caresse plus intensément. Quelque chose de violent se passe, la tension enfle, je m’appuie contre le mur, je regarde la ville, les seins fièrement pointés vers elle. Cela vient du fond de mes entrailles, très vite, comme une urgence à expulser, dans un souffle à peine audible, mais à la vue de qui aurait voulu lever la tête.
Je suis bien et fière.
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