Nous venions de finir une séance photo pour laquelle la dernière prise de vue m'avait mise dans une position très obscène, à quatre pattes, cambrée et les jambes écartées exhibant mon cul joliment paré de mon rosebud de soumise.
Je pensais que nous allions en rester là quand mon Maître me demanda : "Cela vous procure du plaisir j'imagine, cette posture et votre bijou ? Alors, jouez avec la sensation, excitez-vous je vous prie. Servez-vous également de votre vibromasseur pour vous donner du plaisir simultanément."
Je commençai donc à me masturber avec mon vibromasseur et à me concentrer sur le plaisir procuré par les deux objets. Mais mon Maître s'approcha de moi et m'ordonna de le faire non pas pour mon propre plaisir mais en pensant à ma posture de soumise, à mon état de soumise en tout premier lieu. Il me dit de lâcher le vibromasseur et de me concentrer complètement sur la contraction de mon anus.
Après quelques temps, Il vint vers moi et m'ordonna de me concentrer sur un orgasme intérieur. Ce faisant, Il s'est mis à me fesser, d'une manière assez brutale et répétée allant notamment jusque vers le bas des fesses, atteignant un endroit très sensible où j'ai sans doute moins l'habitude de recevoir des claques et cela me fit crier car c'était assez douloureux et l'enchaînement des claques était déroutant.
Je sentais dans Ses gestes, la puissance de mon Maître, Sa volonté à m'imposer Son désir, Sa cadence, à me faire sentir directement Son emprise et la notion de soumission dans le fait de supporter, d’endurer quel que soit ce qui venait. La première surprise passée, je me concentrais de plus belle sur Sa demande, imaginer un orgasme intérieur, le faire monter dans la conscience pleine de ma posture de soumise, corps et âme.
Mon Maître continuait à m'imposer des gestes brutaux qui m'immergeaient d'autant plus dans cet état. Il m'attrapait les cheveux violemment, me serrait le cou de manière à me faire suffoquer. Dans cet état d’oppression, mon excitation et ma tension sont devenues extrêmes. Je commençais à me sentir hors de moi, chienne et soumise, puissante et impuissante à la fois. C'était très intense, une sensation de brûlure interne, sourde.
Il reprit ensuite Ses tapes sur les fesses mais aussi également sur mon sexe ce qui me fut encore assez difficile à supporter. Il vint aussi derrière moi, tour à tour me presser le sexe ou titiller le rosebub me demandant de contracter à l'extrême ou de pousser également jusqu'à la limite de l'extraire.
Retournant enfin face à moi, tout en continuant à me serrer le cou, Il me dit de Le regarder dans les yeux pour Lui donner ma jouissance.
Ce moment fut extraordinaire. Supporter Son regard, me perdre en même temps mais sans Le lâcher, Lui donner cette perte, y réussir : quelle puissance, quelle intensité !
Je ne sais plus très bien ce qui se passa les premiers instants qui suivirent. Je me souviens très nettement en revanche du temps de repos que je pris ensuite, alors que mon Maître commençait à ranger autour de moi. Comme hébétée, dans un état second, vidée de toute substance. Je mis de longues minutes à me sortir de cette sorte de torpeur, d'épuisement qui m'avait saisie.
N'est-ce pas cela ce que beaucoup mentionnent comme la redescente du subspace ?
Je sais en tout cas que je me souviendrais longtemps de ces instants si intenses. Je Vous remercie Maître de m'avoir fait vivre cela.
Je pensais que nous allions en rester là quand mon Maître me demanda : "Cela vous procure du plaisir j'imagine, cette posture et votre bijou ? Alors, jouez avec la sensation, excitez-vous je vous prie. Servez-vous également de votre vibromasseur pour vous donner du plaisir simultanément."
Je commençai donc à me masturber avec mon vibromasseur et à me concentrer sur le plaisir procuré par les deux objets. Mais mon Maître s'approcha de moi et m'ordonna de le faire non pas pour mon propre plaisir mais en pensant à ma posture de soumise, à mon état de soumise en tout premier lieu. Il me dit de lâcher le vibromasseur et de me concentrer complètement sur la contraction de mon anus.
Après quelques temps, Il vint vers moi et m'ordonna de me concentrer sur un orgasme intérieur. Ce faisant, Il s'est mis à me fesser, d'une manière assez brutale et répétée allant notamment jusque vers le bas des fesses, atteignant un endroit très sensible où j'ai sans doute moins l'habitude de recevoir des claques et cela me fit crier car c'était assez douloureux et l'enchaînement des claques était déroutant.
Je sentais dans Ses gestes, la puissance de mon Maître, Sa volonté à m'imposer Son désir, Sa cadence, à me faire sentir directement Son emprise et la notion de soumission dans le fait de supporter, d’endurer quel que soit ce qui venait. La première surprise passée, je me concentrais de plus belle sur Sa demande, imaginer un orgasme intérieur, le faire monter dans la conscience pleine de ma posture de soumise, corps et âme.
Mon Maître continuait à m'imposer des gestes brutaux qui m'immergeaient d'autant plus dans cet état. Il m'attrapait les cheveux violemment, me serrait le cou de manière à me faire suffoquer. Dans cet état d’oppression, mon excitation et ma tension sont devenues extrêmes. Je commençais à me sentir hors de moi, chienne et soumise, puissante et impuissante à la fois. C'était très intense, une sensation de brûlure interne, sourde.
Il reprit ensuite Ses tapes sur les fesses mais aussi également sur mon sexe ce qui me fut encore assez difficile à supporter. Il vint aussi derrière moi, tour à tour me presser le sexe ou titiller le rosebub me demandant de contracter à l'extrême ou de pousser également jusqu'à la limite de l'extraire.
Retournant enfin face à moi, tout en continuant à me serrer le cou, Il me dit de Le regarder dans les yeux pour Lui donner ma jouissance.
Ce moment fut extraordinaire. Supporter Son regard, me perdre en même temps mais sans Le lâcher, Lui donner cette perte, y réussir : quelle puissance, quelle intensité !
Je ne sais plus très bien ce qui se passa les premiers instants qui suivirent. Je me souviens très nettement en revanche du temps de repos que je pris ensuite, alors que mon Maître commençait à ranger autour de moi. Comme hébétée, dans un état second, vidée de toute substance. Je mis de longues minutes à me sortir de cette sorte de torpeur, d'épuisement qui m'avait saisie.
N'est-ce pas cela ce que beaucoup mentionnent comme la redescente du subspace ?
Je sais en tout cas que je me souviendrais longtemps de ces instants si intenses. Je Vous remercie Maître de m'avoir fait vivre cela.
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