Séances uro, apprentissage, plaisir et difficultés

Exercice

Vous m'avez demandé par deux fois de me masturber à une heure précise. La première fois j'ai choisi de m'isoler. Vous m'avez demandé de recommencer une seconde fois cette fois-ci en restant sur la plage et en expérimentant de le faire discrètement, intérieurement puis de vous relater les deux expériences.

Pour le premier exercice, je me suis assise près d'un arbre face au soleil de fin d'après-midi et en surplomb de la calanque où des bateaux circulaient. De ce point en hauteur, je pouvais voir les navigateurs, ceux-ci pouvaient me voir de loin mais sans pouvoir deviner ce que je faisais. Cette situation m'a plu, j'étais suffisamment isolée pour pouvoir donner libre cours à mes soupirs et gémissements, prendre la posture qui me convenait, les jambes légèrement écartées et en même temps avoir l'impression d'afficher ce que je faisais. C'est un peu la même sensation que celle que procure le fait d'être nue sous ses vêtements sans que personne ne le soupçonne. Pour moi c'est une situation jouissive et elle eut pour effet de me faire bander extrêmement vite. La beauté du décor, la chaleur du soleil irradiant tout mon corps et ce sentiment ont tous les trois participé à une montée très rapide de mon excitation. J'ai laissé libre cours à mon envie, je l'ai laissée enfler, me submerger et s’expulser dans une jouissance intense et libérée. Ce fut fulgurant et très intense.

Pour le second exercice, je suis restée sur la plage en choisissant un endroit un peu éloigné des autres plagistes pour éviter qu'ils ne me remarquent trop. J'ai tout de même eu du mal à me détendre car il y avait un peu de mouvement et je tenais à rester vigilante à ce que personne ne s'approche trop près au risque de comprendre ce que je faisais. Je me suis allongée sur le ventre les jambes légèrement écartées pour que l'air circule entre mes cuisses et me suis caressée d'une main passée sous mon pubis. Ces contraintes ont été compliquées à surmonter et j'ai mis longtemps à faire monter l'excitation. J'ai fermé les yeux pour me concentrer sur quelque chose d'intérieur et c'est alors que j'ai commencé à pouvoir jouir du moment. Pour maintenir une certaine vigilance, je rouvrais les yeux régulièrement ce qui a entrainé une montée du plaisir plus lente et aussi plus douce. La posture n'était pas des plus faciles pour atteindre mon sexe mais petit à petit mon corps s'est relâché et j'ai senti mon sexe s'humidifier. Je crois que j'aurais pu mieux intérioriser avec une posture plus libre et sans la contrainte de guet. Malgré ces contraintes, je suis allée chercher la jouissance au bout d'un long moment. J'ai aimé le fait d'agir en silence et de faire venir quelque chose dans un soubresaut discret.