Ce que j'ai envie d'écrire aujourd’hui est un peu impudique, mais ce blog n’est-il pas le lieu de toutes mes pensées, de toute mes expériences ? Je n’ai donc pas de pudeur à avoir.
Je suis soumise corps et âme à Maître Arran. Je suis prête pour Lui montrer à aller chercher au fond de moi toute la puissance de l'animal qui sommeille. Après l’expérience racontée dans mon dernier billet, j'ai eu un moment de partage intense avec mon Maître, quelque chose de bouleversant, d’extrêmement intense, une lame de fond. Après cela, j'avais envie de Lui montrer du plus profond de mon être à quel point j'étais Sienne, à quel point j'étais Sa soumise.
Il m'a demandé d'uriner alors que je n'y étais pas préparée. Quelle difficulté ! Moi qui voulais absolument obéir, je me retrouvais dans une situation extrêmement difficile pour réussir. Il m'a dit de prendre mon temps, Il m'a permis de boire un peu d'eau. Il m'avait demandé au départ d'être à quatre pattes, Il m'a ensuite proposé de changer de posture pour être plus à l'aise et je me suis mise accroupie. J'ai pris beaucoup de temps pour me concentrer. Je savais d'expérience qu'il ne me fallait aucune perturbation extérieure et intérioriser les choses pour y arriver. Surtout, ne pas me laisser submerger par l'angoisse qui peut survenir à tout instant de la suggestion que je n’y arriverai pas. Quel exercice difficile !
Au bout d'un long moment mon Maître m'a dit qu'on allait en rester là car je n'arrivais pas à uriner. J'ai eu un sursaut de colère, ou d'orgueil peut-être. Alors que tout mon être voulait Lui obéir, il n'était pas possible juste pour une raison physiologique que je renonce. J'ai demandé à mon Maître d'attendre encore quelques temps, je me suis concentrée plus que jamais et le liquide libérateur est enfin venu : quelle joie, quel moment intense !
Mon Maitre m’a ensuite demandé de m’assoir puis de m’allonger dans mon urine. Il m’a demandé de m’enduire de ma substance de me caresser avec, de m’immerger dedans. Et je l’ai fait. Et j’ai eu plaisir à le faire, pas seulement par obéissance, mais dans un élan de l’intérieur, comme dans une folle danse avec moi-même, ma substance, mon animalité fière.
Je n'aurais pas cru pouvoir faire cela avec autant de plaisir.
Je suis soumise corps et âme à Maître Arran. Je suis prête pour Lui montrer à aller chercher au fond de moi toute la puissance de l'animal qui sommeille. Après l’expérience racontée dans mon dernier billet, j'ai eu un moment de partage intense avec mon Maître, quelque chose de bouleversant, d’extrêmement intense, une lame de fond. Après cela, j'avais envie de Lui montrer du plus profond de mon être à quel point j'étais Sienne, à quel point j'étais Sa soumise.
Il m'a demandé d'uriner alors que je n'y étais pas préparée. Quelle difficulté ! Moi qui voulais absolument obéir, je me retrouvais dans une situation extrêmement difficile pour réussir. Il m'a dit de prendre mon temps, Il m'a permis de boire un peu d'eau. Il m'avait demandé au départ d'être à quatre pattes, Il m'a ensuite proposé de changer de posture pour être plus à l'aise et je me suis mise accroupie. J'ai pris beaucoup de temps pour me concentrer. Je savais d'expérience qu'il ne me fallait aucune perturbation extérieure et intérioriser les choses pour y arriver. Surtout, ne pas me laisser submerger par l'angoisse qui peut survenir à tout instant de la suggestion que je n’y arriverai pas. Quel exercice difficile !
Au bout d'un long moment mon Maître m'a dit qu'on allait en rester là car je n'arrivais pas à uriner. J'ai eu un sursaut de colère, ou d'orgueil peut-être. Alors que tout mon être voulait Lui obéir, il n'était pas possible juste pour une raison physiologique que je renonce. J'ai demandé à mon Maître d'attendre encore quelques temps, je me suis concentrée plus que jamais et le liquide libérateur est enfin venu : quelle joie, quel moment intense !
Mon Maitre m’a ensuite demandé de m’assoir puis de m’allonger dans mon urine. Il m’a demandé de m’enduire de ma substance de me caresser avec, de m’immerger dedans. Et je l’ai fait. Et j’ai eu plaisir à le faire, pas seulement par obéissance, mais dans un élan de l’intérieur, comme dans une folle danse avec moi-même, ma substance, mon animalité fière.
Je n'aurais pas cru pouvoir faire cela avec autant de plaisir.
Beau témoignage de votre volonté à Me satisfaire.
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